Trois paysagistes de l’Inde, une ethnologue et un philosophe et Toronto, deux artistes ardéchois, voisins, amis, rencontres avec Le Sentier des Lauzes et Terre de liens…et la fin du chantier pour la Salle à multiples usages… D’Amadebad et Mumbai sont venus avec quelque trépidation (ils ne connaissant pas la France en dehors de Paris…) des architectes paysagistes renommés Aniket et Smruti Bagwhat http://www.landscapeindia.net et http://www.leaf-india.org/ avec leur collègue Samira Rathod http://www.srda.co/ de Mumbai. Malheureusement j’étais atteinte d’extinction de voix pendant tout leur séjour! nous sommes allés néanmoins en Provence pour retrouver une autre collègue et Sebastien Giorgis et Irène Bourre, pour deux jours de visites. Photos ici de la Carmejane à Ménerbes:
FIN AVRIL, deux artistes ardéchoises ont fait connaissance à Rousselonge: Grégoire Edouard le photographe déjà venu, http://www.gregoireedouard.com et Marie-Noëlle Gonthier qui fait des images avec des feuilles pressées. Voici un assemblage de feuilles de Rousseonge, impression du haut et du bas:
encadré, sur le mur de l’annexe en août…https://marienoellegonthier.wordpress.com/
Stan Alaguillaume est revenu aussi pour livrer ce superbe bureau à deux places, venu de Marseille… Wim Florquin en a refait la surface et remis en état.
En mai, le retour de vieux amis, Tania Murray Li et Victor Li, professeurs de l’Université de Toronto que j’ai d’abord connus à Halifax. Tania spécialiste de politiques de la terre venait de faire des conférences à Montpellier Après trois semaines à Rousselonge, (leur sixième visite) ils sont partis pour qu’elle continue à Oslo, Berlin, etc etc. On peut voir un échantillon de son travail sur https://taniamurrayli.wordpress.com/ Ou encore sur https://www.youtube.com/watch?v=iELdzQmMEnw et https://www.dukeupress.edu/lands-endBEaucoup de discussions sur l’état du monde et l’avenir…
C’est par eux que j’ai connu le livre le plus impressionnant de l’année: Le Champignon de la Fin du Monde, d’Anna Tsing, collègue de Tania, sur l’économie précaire et globale à travers le destin d’un champignon, symbole aussi de la vie et de son évolution bien plus que l’arbre de vie traditionnel.
Pendant tout le printemps, le chantier de l’annexe a évolué à toute allure. Wim Florquin en a fait la peinture en juin…
et le jardin et la colline vivent leur vie comme pour chaque saison